Pour s'instruire et ne pas dessécher (trop vite) idiot...

On ne s'en rend pas compte le plus souvent; ou quand on s'en rend compte, il est trop tard; et dans ce cas, il aurait mieux valu comme le ravi de la crèche ne se rendre compte de rien : l'habitude dessèche; le train-train, le ron-ron dessèchent aussi; des propos entendus ici ou là peuvent vous sécher le coeur d'un coup sans prévenir.

 

Il faut de la rosée; de la rosée d'aurore, de la rosée de printemps pour que, dans les cerveaux, les coeurs et les corps qui se ratatinent lentement, puisse à nouveau germer idées, envies, inventions, imaginations, projets...

 

Si vous êtes venus jusque cette page, c'est que la rosée a déjà fait sur vous l'effet d'une pluie rafraîchissante. Vous avez osé quitter les sentiers balisés; vous vous êtes égaré(e)s du côté de l'inutile...

 

Félicitations.

 

C'est Bernanos qui a dit une fois, parlant d'une époque qui ressemble furieusement à la notre : L'homme de ce temps a le coeur sec mais la tripe sensible.

 

Allez faire une première visite sur le site de la Bibliothèque de France.

 

Elle a organisé il ya quelques années (mais peu) une magnifique exposition consacrée au(x) contes. Elle a mis en ligne les reproductions des documents réunis pour l'occasion.

 

En cliquant sur ICI, vous accédez à la page "Conte de fées" de la Bnf..

Voulez-vous tout savoir sur les fées, les contes, les auteurs, les publics, les éditeurs d'un phénomène littéraire dont Charles Perrault est la référence la plus connue sinon la plus illustre. ?

 

Le conte, dans la dernière partie du XVIIe siècle est à la mode en France. On en écrit en abondance; on en lit; on en parle...  Les femmes (auteurs) s'emparent d'un genre considéré comme mineur et futile par de grands esprits "anciens".

 

La vogue du conte débordera sur le XVIIIe siècle avec des exemples que chacun connaît.

 

Il existe un revue, Fééries, publiée par les presses universitaires de Grenoble. Bonheur pour qui aime le conte : la quasi totalité des numéros de cette revue sont en ligne.

 

Pour en feuilleter tel ou tel numéro, pour lire (c'est encore la plus belle façon de rendre hommage non seulement àleur travail mais aussi à leur générosité) tel ou tel article... un seul geste, via la souris.. un clic sur le mot ICI.

Pour lire et découvrir les illustrations d'une jolie édition des contes de Perrault, "in english, my go!", pour éventuellement, télécharger ce texte, cliquez ici...

Pour découvrir les illustrations dont Gustave Doré accompagna l'édition par Hetzel des Contes de ma mère l'Oye de Perrault, cliquez ICI.

Je vous recommande encore ce magnifique site anglais qui a rassemblé les "classiques" de la littérature mondiale (des Voyages de Gulliver aux Contes des Mille et une nuits; des Contes de Perrault au Songe d'une nuit d'été). L'intérêt, pour nous, c'est que le site présente des éditions illustrées (et par les plus grands des illustrateurs) de ces textes.

Les illustrations peuvent être récupérées, donner des idées et -qui sait- donner envie d'inventer des activités..

Cliquez ICI.

Pour tout savoir sur Gustave Doré, l'illustrateur célèbre, cliquez ICI.

Si vous cherchez des images qui, à l'intérieur des livres, en dialogue avec les textes, ont illustré, ont littéralement mis en lumière les mots, et au-delà d'eux, ont mis en lumière les paysages, les décors, les personnages et les situations, alors cliquez ICI et fouillez....